Premières expériences et engrenages : Chapitre 8 Prisonnier

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il y a 1 an

Le début de cette saga est ICI

Chapitre 8 : Prisonnier

  • Je ne vais pas te le dire. D’abord cela gâcherait ta surprise, et sans préparation de ma part, voire sans faire le pas pour toi, jamais tu n’oserais en essayer certain. Tu me diras après ce que tu as apprécié, ce qui t’as fait le plus honte et peut-être quelques trucs que tu ne referas plus, au moins pendant un temps, jusqu’à ce que tu me le redemandes.

  • Je comprends, maitresse, m’inquiétant qu’elle ne parle pas de ce que je ne serais jamais d’accord pour essayer.

  • Tu débandes. Il est temps de finir ta séance, mais cette fois tu n’éjaculeras pas. Ce sera ta punition. Va prendre la cage de chasteté avec sa clef. Je vais t’expliquer comment la mettre.

  • Çà, demandai-je faussement surpris, en montrant depuis mes mains encore attachées l‘objet métallique rose dont la forme et le nom en confirmer l’utilisation.

  • Oui.

  • Comment dois-je faire ?

  • D’abord tu enlèves tes menottes, la bouteille et le lacet autour de tes couilles. Retire également la cire de ton gland. Attention, il ne faut pas que tu bandes à nouveau.

C’était difficile surtout la dernière instruction. Néanmoins après avoir déverrouillé mes menottes avec difficultés, j’enlevai tout ce qui pouvait gêner dans cette zone ainsi que la plupart des pinces, même si c’était omis dans la liste qu’elle m’avait envoyée. J’étais frustré de n’avoir pas joui, mais je savais que ce soir je terminerai tout ce pourquoi j’avais souffert. Je posai la boite contenant l’objet le cadenas et la clé à portée de main et prenait les différentes parties de l’objet en question. Elle m’expliqua, pas à pas, sa mise en place jusqu’à la fermeture par le petit cadenas rose assorti à la cage et à la clef. Je trouvais que pour la première fois, je me débrouillai maladroitement bien. Mon sexe à peine sa liberté compromise se rebella, comme s’il attendait le clic du cadenas pour se réveiller. Je déplaçai la peau de mes boules pincées dans l’anneau et profitai pleinement de la pression qu’exerçait l’objet sur mon pénis.

Je décidai que je m’entrainerai à le mettre pour ne pas lui faire honte.

  • Que puis-je faire d’autre pour vous maitresse ? demandai-je.

  • Je veux que tu remettes le maximum de pinces à linges sur tes couilles. Après tu discuteras et répondra à tes fans. Je dois m’absenter un certain temps. Tu resteras jusque là en ligne et en caméra public.

  • Que dois-je faire s’il me demande d’exécuter d’autres punitions ?

  • Si physiquement tu peux les exécuter, tu dois le faire.

  • Même s’ils veulent que je m’enlève mes pinces, par exemple ? insistai-je en pensant plus à ma cagoule.

  • Bien sûr. Je veux que tu fasses TOUT ce qu’ils te demandent.

  • Même si je dois enlever cette cage et me branler, insistai-je à nouveau cherchant à l’exaspérer.

  • Il faudrait qu’ils puissent te donner la clé du cadenas, répondit-elle avant de se déconnecter.

Je ne compris pas immédiatement. La clé était encore dans la boite à vingt centimètres de moi. Elle était reconnaissable avec la même couleur rose clair que le cadenas. Un doute s’insinua en moi. Je pris la clé et voulus l’essayer. Elle était beaucoup trop grande. Il était impossible de la rentrer dans le cadenas. J’aurais dû essayer avant comme je l’avais fait pour les menottes. Quel imbécile j’avais été !

J’entendis les bips des voyeurs qui avaient suivi notre conversation et qui avaient probablement traduits les derniers échanges ou qui connaissaient le français. Que devais-je faire ? Ma maitresse m’avait donné un ordre. La clé devait être caché ici. J’essayai toutes celles que j’avais, des barres comme des menottes. Je fouillai ensuite la boite, enlevant du carton toute la protection intérieure, composée de billes de mousse. Je démontai même le carton aux endroits où il se repliait sur lui-même en espérant qu’elle avait pu la cacher entre deux épaisseurs. Je tâtai ensuite tout ce que j’avais sorti jusqu’au manche du martinet. Il n’y avait absolument aucune clé pour ce cadenas dans le carton. Je devais me faire une évidence : Elle avait la clé avec elle.

Je devais lui obéir. Je n’aurais pas la clé si je me rebellais. Dans quelle situation je m’étais mis ? Si elle n’avait pas envoyé les photos, elle me rendrait forcément la clé, essayai-je de me rassurer. Il ne s’agissait que d’un jeu, cruel mais un jeu. Je retournai devant l’ordinateur avec un haut le cœur. Une vingtaine d’ordre donnée par une demi-douzaine de pseudo uniquement se succédaient sur l’écran. J’étais perdu. Le dernier chat m’indiquait de remonter au premier et de les exécuter dans l’ordre depuis le départ de Ladyscar.

Au milieu de ma confusion mentale et de ce chaos, je vis ce dernier message comme une bouée.

  • Yes Master, répondis-je avant de remonter la liste trop longue pour que je n’escomptasse la réaliser.
Sans la clef, il n'y q plus qu'à attendre le bon vouloir xe madame.
Piège « classique »… et pourtant qui ne rêve pas ici d y succomber? ^^
Bonjour, je continue de suivre votre récit avec plaisir, merci à vous !
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